Un nouveau départ [TERMINE]

Cela faisait plusieurs mois que Ceros avait quitté ses terres natales. Il y avait été contraint, et après 2 années à errer sur Telluria,
Ceros avait pris la décision de s'aventurer en Linoa. Il lui faudrait recommencer ses recherches, et pour le moments, les indices était bien maigre, tout comme son sac ainsi que sa bourse. L'émerveillement le gagna lorsqu'il vit la splendeur de ce port, rien à voir avec les villes de Telluria dont l'architecture était tout autre. Alors c'est donc cela Dal-Duris ? pensa-t-il. Eh bien on voit que le monde change du tout au tout d'un continent à l'autre. Ceros n'avait pas tort dans le fond, un homme qui avait vécu dans le désert pendant près de 20 années ne pouvait que trouver cela différent. Il avait déjà vu nombre de chose au cours de son voyage, mais rien qui le dépaysait autant que Dal-Duris.

En débarquant du bateau, Ceros regarda soleil, constatant que le soleil était déjà au Zénith. Il avait épuisé ses dernières économies pour embarquer sur le bateau afin d'arriver jusqu'ici. La première chose à laquelle il songea, fut de trouver de quoi dormir cette nuit, mais il doutait qu'un quelconque tavernier lui offrirait le gîte et le couvert gratuitement. Alors il réfléchit , et la seul idée qui lui vint alors fut de trouver une auberge, non pas pour dormir, mais pour se renseigner, sur le meilleur moyen de gagner quelques piécettes. Et si je ne trouve rien et bien.. je dormirais à la belle étoile. songea-t-il.

Sur cette dernière pensée, il partit visiter un peu la ville afin de trouver quelques repères et surtout pour s'écarter un peu du port, car il étouffait avec toute cette agitation autour de lui. Il repéra les divers lieux importants, hôtel de ville, lieu de culte, commerce divers etc. Une fois cette petite promenade accomplie, lui prenant 2 bonnes heures, Ceros partit en direction d'une auberge, et dans cette ville, des auberges il y en avait tout un choix. Et son choix s'arrêta devant celle du " Narval Blanc ".
Celle-ci me semble tout ce qu'il y a de bien. Et puis une auberge est une auberge, songea ce dernier. Il entra alors à l'intérieur de cette dernière et alla directement se poser au comptoir pour aborder le tavernier.

>> Brave homme, est tu le tenancier de cette établissement ?

_Par ma barbe, encore heureux que je le suis. Il ne manquerai plus que je sois l'employé de ma bourgeoise.s'exclama-t-il de rire. Et que me veux un jeune voyageur dans ton genre ?

_ Et bien, pour dire vrai, je viens d'arriver en ville et je recherche un endroit où je puis me restaurer le temps d'une nuit. Hélas ma bourse s'est retrouvé vide peu après mon embarquement et je me demandais si vous n'aviez pas un petit travail à accomplir, qui pourrai me permettre de vous payer mon dû ? <<

Le tavernier regarda l'étranger avec intérêt. Au vue de sa tenue, le jeune homme ne venait sans doute pas du coin, encore moins du continent. La tavernier fit un signe de tête au jeune homme en signe de le suivre en arrière salle. Là se trouvait les cuisines, qui semblait avoir connu un raz de marée. Ceros sentait le coup fourré arrivé, mais il n'avait pas vraiment le choix, si il voulait dormir confortablement ce soir.

>> Voici le marché mon garçon, si tu arrives à me nettoyer la moitié de ce chantier, je t'offrirai le gîtes et le couvert pour cette nuit. Tu as jusqu'à ce soir . Qu'en dis-tu ? C'est assez honnête non ?<<

Bien sur que cela ne l'était pas, quelle auberge ferais payer une chambre, une journée de travail de bonne ? Mais bon l'aubergiste aurait tout aussi bien pu le flanquer dehors. Ceros se mit alors au travail. Cela lui rappelait les tâches quotidiennes qu'il exécutait dans la ferme de ses parents : nettoyer les étables, nourrir le bétail...Mais à côté de la cuisine de l'auberge, la ferme lui semblait être un parcours de santé. Assiette après assiette, la pile ne semblait pas vouloir descendre. Ceros ne se découragea pas pour autant et redoubla d'effort.

Au bout de 3 heures, Ceros ne voyait toujours pas le bout. La sois-disant "moitié" était encore loin d'être atteinte. Il venait de finir la vaisselle et restait encore bon nombre de chose à faire. Malheureusement mes compétences de guerrier ne servent à rien ici... pensa-t-il, soufflant de désespoir. Mais un marché était un marché. Une idée lui vint alors à l'esprit, il se dit que nettoyer la pièce en premier puis finir par les ustensiles serait la meilleur chose à faire. Ainsi, il aurait remplie aisément sa part du contrat. Il se mit donc de travail retrouvant un peu d'espoir dans ce chaos culinaire.


Après plus de 6 heures, le tenancier revint voir les travaux du jeune voyageur. Lorsque se dernier entra dans la cuisine, tout était devenu merveilleusement étincelant, comme si cette cuisine était sortie d'un rêve, ou d'un palace.

>> Mon garçon, laisse moi te dire que tu viens d'accomplir un vrai miracle. Je ne me rappel avoir jamais vue ma cuisine dans un tel état de propreté. Tu as également remplie ta part du marché, et même bien plus que cela. Je tiendrai donc ma promesse. Je t'offre le gîte et le couvert pour ce soir , et demain si tu en as besoin. Je te suis reconnaissant de tes effort...

_ Je vous remercie vieil homme, sachez que cela n'as pas été une mince affaire, et rappelez moi à l'avenir de ne plus vous redemander du travail.

_ Ah ah ah ah ah ! Tu es un drôle de phénomène mon garçon. Ah ah ah ah ah. Va donc prendre un bain et redescend ensuite me voir pour le dîner. <<

Sur ces mots, Ceros s'exécuta. Il prit un bain et redescendis pour prendre un bon repas. Il l'avait bien mérité...


Après une bonne nuit de repos, Ceros demanda à l'aubergiste où se trouvait la ville la plus proche après Dal-Duris. Le vieux tenancier lui expliqua qu'il lui faudrait se diriger vers la régions de Dol-Néros, en direction de l'est vers le détroit.

>> Dites moi vieil homme, j'ai une dernière question à vous posez, avez vous entendu parler d'un homme de l'ouest habillé de noir ?

_ Jeune homme, des hommes habillés de noir il en existe des centaines.

_Ce n'est pas grave, je vous remercie quand même. Au revoir vieux tenancier et merci encore.


_Merci a toi mon jeune ami . Que le ciel soit clément le long de ton périple. <<

Ceros savait bien qu'il n'en serait pas ainsi. De plus, il sentait que quelque chose l'appelait, le vent le poussait vers cette direction. Pour quoi vers l'est ? que pouvait-il bien y trouver? Il prit les quelques rations que le tavernier lui offrit et se mis en route vers la sortie de la ville. et de là, il allait traversé les plaines. Il ne savait pas pendant combien de temps, mais il savait qu'il lui fallait suivre la côte jusqu'à apercevoir la prochaine ville.

Il était heureux. Il avait parcouru des centaines de kilomètres depuis la Citadelle d'Ivoire pour venir à Dal-Duris. Grâce aux réserves de pièces que lui avaient « gentiment » offert les Sages de la Citadelle pour son périple, il avait pu emprunter un dirigeable depuis les Grand Duchés jusqu'ici. Et là, quel émerveillement ! Oui, Dorian était heureux.
Sa mission était on ne peut plus simple. Il devait venir récupérer des livres que des Anges de Dal-Duris avaient empruntés à la bibliothèque de la Citadelle. L'échange se passa bien et trouva les emprunteurs fort sympathiques après qu'ils lui eurent offert le gîte, le couvert et de la compagnie durant une demie-douzaine de jours. Là, Westher avait écumé les bibliothèques, dessiné à foison et agrandit considérablement sa connaissance de Neïliona. Il avait même rencontré un mage qui lui avait donné une astuce pour ses sortilèges. On pouvait donc modifier la quantité d'énergie mise dans chaque rune pour faire ressortir telle ou telle caractéristique. Incroyable. Tout bonnement incroyable....
Mais voilà qu'il devait à présent repartir et il manquait d'argent pour reprendre le – couteux – dirigeable qui le ramènerait chez lui, à savoir à l'autre bout de Linoa. En plus, il s'était énervé contre un badaud qu'il lui avait parlé avec condescendance.

Dorian marchait à présent sur le port, sac sur le dos, à la recherche de la sortie de la ville quand soudain un voleur lui arracha sa sacoche où étaient rangés livres et affaires. « Hé ! » cria l'Ange tout en sachant qu'il n'allait pas s'arrêter pour lui rendre son sac. Le mage s'envola et retomba juste derrière le pickpocket qui courait toujours. Websther casta un sort durant quelques secondes puis l'activa. Une forte bourrasque souffla au niveau des pieds du voleur, qui s'effondra à terre. L'Ange s'approcha à grandes enjambées, posa un pied sur le bras de l'homme et récupéra son sac. « Enflure... » pensa-t-il.

[Note : Mon personnage ne lévite pas mais vole pour la simple et bonne raison qu'il s'agit d'un ange De plus, je n'ai pas le niveau nécessaire pour léviter... Je te laisse le soin d'éditer ton post à ce propos.]



Dorian n'aimait pas que l'on s'en prenne à ses affaires et la colère l'avait empourpré. Quoi que son visage, tellement pâle d'habitude, n'avait pas pris autant de couleur qu'un humain normal. Une voix s'adressa à lui :

« Dites-moi mon brave, auriez-vous besoin d'un coup de main pour appréhendez ce malandrin ? »

Websther releva la tête et regarda son interlocuteur. Il s'agissait d'un jeune homme – guère plus de la vingtaine – à la peau légèrement matte mais rien d'extraordinaire. Un homme commun. Aux vues de son accoutrement et de son épée – une cimeterre rudimentaire – il était sans aucun doute un guerrier. Il portait sur la tête un turban qui laissait présager des origines australes. L'Ange arrangea une mèche de cheveux qui lui cachait ses yeux derrière son oreille et lui répondit, alors qu'il arracha le sac des mains du bandit :

« Merci de votre aide mais il semblerait que j'ai maîtrisé ce truand. »

Il lui sourit et reporta son attention sur son sac afin de vérifier que rien ne manque.

Tous les livres étaient là ainsi que ses habits de rechange et ses provisions. Heureusement que sa bourse était bien cachée sur lui. Le guerrier lui posa alors une question, le tirant de son réconfort :

« Je suis content que tout aille pour le mieux pour vous , mais dites moi, êtes vous vraiment un mage ? Si tels est le cas, j'aimerais vous posez une question si cela ne vous ennuis pas. »

Évidement... Dès que Dorian faisait un tour de force, il fallait que la populace accoure et l'assaille de questions. Comme pour ses ailes. Websther se força pour avoir l'air amical, surtout qu'il était énervé et lui répondit :

« Bien sûr que j'en suis un. Auquel cas je n'aurai pas pu entraver les jambes de cet homme. J'essayerai de vous aider comme je le peux. »

Une des raisons pour laquelle il faisait cela, c'était surtout pour se faire bien voir du reste du monde. Si l'Ange aspirait secrètement à un rang élevé parmi les Hauts Mages, il devait faire preuve de gentillesse et se faire ainsi une réputation. Il espérait seulement que son caractère changerait avec le temps car il ne se voyait pas se forcer toute sa vie. Dorian se mit à marcher, suivit de près par le jeune homme. Il ne voulait pas s'expliquer auprès des autorités et ne souhaitait pas rester aux côtés de cette foule et de ce voleur de bas-étage.

"Dites-moi Mage, connaissez-vous un homme nommé Victor Delacroix ? Ou en avez-vous seulement entendu parler ? Il manipule lui aussi les énergie mystiques..."

Dorian le regarda d'un air étrange. Il n'était pas un mage très connu et inversement, il n'en connaissait pas beaucoup. Son réseau social était très limité pour le moment. Le guerrier avait prononcé ce nom avec une rancœur certaine dans sa voix. Cette inflexion laissait présager qu'il voudrait sans doute rendre des comptes à ce Delacroix. Cependant, Websther allait le décevoir.

"Je suis désolé mais je ne connais personne de ce nom."

Il se garda cependant de lui avouer qu'il ne connaissait pas grand monde dans le milieu de la magie.

"Si vous me donnez une description physique et sa puissance, je pourrai le reconnaître s'il m'arrive de le croiser lors de mes voyages."

L'Ange était mû par une sorte de curiosité soudaine qui le poussait à en découvrir plus sur ce guerrier mais surtout sur ledit Delacroix. Dorian ne comptait - que Talis le préserve de cette idée - pas venger cet inconnu s'il arrivait à rencontrer ce Victor mais il était désireux de savoir qui il était et ce qu'il avait fait. N'étais-ce pas après tout légitime ? Un inconnu du Sud (à en juger par son accoutrement) vient lui demander, sans aucun préambule, s'il connaissait un mage apparemment connu par la profession et qui a du faire quelque chose de terrible ou de grandiose. Websther était naturellement surpris !

"Grand, les cheveux blancs, vêtu d'une longue cape et de vêtements nobles de couleur noire. Les yeux couleur flamme. La plupart du temps, il porte un masque dont la moitié est noire et l'autre blanche. Et si vous voulez connaître quelques uns de ses prodiges, renseignez vous sur la ville de Tôl Rukuo..."

Cette description ne l'avançait pas beaucoup, hormis le masque bicolore. Cela ne lui disait rien de particulier. Dorian fit la moue en signe d'excuse.

"Et bien je vous prie maintenant de bien vouloir m'excuser, je vais partir vers l'ouest en direction du Delta Neros. Peut être nous reverrons nous un jours prochain."

Websther réalisa tout à coup quelque chose. Avait-il dit Tôl Rukuo ? Avec son accent du sud, l'Ange avait mal entendu. S'il avait dit Tôl Rukuo, il voyait très bien de quoi il parlait. Il avait entendu parlé d'un désastre se passer sur Telluria. Il savait qu'un Invocateur de très haut niveau avait rasé la ville à la recherche d'un objet de grande valeur. Quant à la nature de l'objet... Mais le véritable hic n'était pas là. Il s'agissait en fait du nom qu'avait employé le guerrier. Dorian lui attrapa le bras alors qu'il partait et demanda :

"Vous avez dit Delacroix mais ce nom ne me dit rien. Cependant, je connais l'histoire de Tôl Rukuo." Devant le visage incrédule de son interlocuteur, il ajouta : "Vous savez, les nouvelles à propos de magie circulent vite dans notre communauté." Il balaya l'air de la main et continua : "Le problème c'est que l'Invocateur - très puissant, il faut l'avouer - se nommait Dweran Aleand."

Le guerrier avait l'air de plus en plus décontenancé à chaque seconde qui passait. Le seul fait que Dorian ait dit savoir quelque chose à propos de Tôl Rukuo semblait aussi incroyable qu'une éclipse d'Erion. Cet homme avait quelque chose à cacher. Sans doute avait-il été une victime de Dweran Aleand. Chose qui pourrait aisément être imaginée vu la puissance et la folie de l'Invocateur. Sa folie n'était égale qu'à sa soif de puissance et sa démesure. Heureusement, on n'en avait plus parler durant plusieurs années depuis qu'il était parti à Airane se perdre dans les îles. Mais depuis la catastrophe de Tôl Rukuo, son nom avait refait surface...

"Ce nom ne me dit rien. En êtes vous certain ?"

Dorian se trouva fort irrité par cette remarque.


"Ai-je l'air de quelqu'un qui parle sans savoir ce qu'il dit ?" Répondit-il sèchement.

Non-mais-oh ! Déjà qu'il prenait de son temps alors qu'il aurait très bien pu le laisser là. Sa colère se calma aussitôt lorsqu'il repensa à Aleand. Ce mage était puissant, très puissant. Fort heureusement moins que l'Archimage. Il faudrait d'ailleurs que ce dernier le trouve pour pouvoir le tuer.

"Oh pardon, je parle, je parle et j'en oublie les usages. Je me nomme Ceros Oern. Je fais partie des templiers de Tôl Rukuo, du moins , j'en faisais partie..."

Dorian lui tendit la main pour serrer la sienne et il répondit :

"Je m'appelle Dorian Websther, je suis un Mage de la Citadelle d'Ivoire. Je suis ici en mission pour la Citadelle et je m'apprêtais à rentrer chez moi."

Il ne jugea pas utile de préciser qu'il était un Ange, ses ailes dans son dos suffisaient. Il s'étonna d'ailleurs que ledit Ceros ne les avaient pas dévisagé d'un air incrédule comme beaucoup de passants l'avaient fait depuis qu'il était là.
Alors qu'ils marchaient en silence, Websther reprit :

"Avez-vous une idée de pourquoi Aleand a... (il hésita à finir sa phrase) rasé votre ville ?"


L'Ange se dit qu'il n'aurait pas du poser cette question car il la jugeait indiscrète et surtout qu'elle pouvait éveiller - si ce n'avait pas été déjà fait précédemment lors de la discussion - de vieilles rancœurs et douleurs.

"Il ne l'as pas rasée, du moins pas sous le terme que vous croyez. La ville est devenue une cité déserte. En une nuit, tout les habitants avaient disparus. Je suis le seul survivant de cette terrible nuit. La raison de ma survie, est la suivante : je n'étais...pas en ville ce soir là, dit ce dernier avec hésitation. La seul chose qu'il laissa derrière lui était un message inscrit sur un mur avec du sang. Je suis le châtiment venu à vous pour vous laver de vos péchés. Je ne saurais comprendre le sens de cette phrase. Près de 3 mois après ce désastre, je retrouvais l'individu responsable de tout ceci. Il portait un masque noir et blanc. Une fois de plus, j'eus de la chance de me trouver en vie. Il était de loin- et cela me fait mal de l'admettre- bien supérieur à moi, en tout point. Et depuis ce jour, une voix n'a cessé de murmurer dans ma tête le nom de Victor Delacroix. Je n'ai pas encore trouvé d'explications."

Dorian réfléchit. Sa connaissance runique et magique ne lui permettait pas de d'affirmer qu'un sortilège pouvait faire disparaître tant de personnes. A la limite les contrôler... Ils continuèrent à marcher, disant quelques bribes de phrases de temps en temps pour meubler le malaise qui s'installer progressivement. Finalement, Ceros Oern lui montra sa poitrine. "Allons bon... Voilà qu'il se met nu !" Il voulait en fait lui montrer une cicatrice qu'il avait depuis sa naissance.

"On dirait plutôt une brûlure. Si tel est le cas, les douleurs peuvent s'expliquer si elle est d'origine magique ou tout simplement profonde."

Soudain, Dorian se souvint de quelque chose : il avait suffisamment d'argent pour prendre un Dirigeable ! Bien sûr ! Il suffisait qu'il prenne la seconde classe d'une part et qu'il en prenne un qui l'amène dans la région de la Citadelle. Il pourrait un peu marcher un peu, ça ne lui ferait pas de mal... Il sortit le parchemin qu'on lui avait remis à l'aller avec les horaires de départs depuis Dal-Duris et regarda, fébrile. Il en partait bientôt un ! Hourra !

"Je suis désolé mais je dois y aller... Je suis vraiment pressé. Si d'aventure vous passez à la Citadelle d'Ivoire, demandez Dorian Websther, je vous accueillerai volontiers. Je dois vous avouer que votre mystère m'a intrigué."

FIN DU RP