Pillards des Plaines [Quête abandonnée]

5 Léodra 2273


C'était le matin. Je me lève et attrape mon boulet, j'avais accepté une quête et avait envoyé une lettre. Et voici ce que j'avais reçu en retour:

Etranger, vous avez accepté de porter assistance aux clans nomades de l’ouest pour en finir avec les pillards et les renégats qui sévissent sur notre territoire. Je me présente : Je m’appelle Nalim’Ka, enfant de la tribu Jiil. J’ai l’immense honneur d’avoir été choisi pour mener nos guerriers au combat et nous assurer la victoire.

Mais nous devons d’abord nous rassembler. Un de mes hommes vous guidera à travers l’immensité des plaines de l’Ouest où seuls ceux de notre peuple peuvent se repérer. Il vous expliquera en détail notre stratégie. Rendez-vous au cinquième jour de Léodra à l’auberge du Korolis, dans la grande cité de Dal-Duris pour y rencontrer votre guide.

Nous avons un accord avec le patron de cette auberge. Accostez n’importe quel membre du personnel et dites-lui que vous voulez rencontrer « ceux dont les navires voguent sur la terre ». On vous conduira dans les sous-sols où ont lieu les transactions avec ceux de mon peuple.

Que Mana vous guide.

De la baston ? Oui, moi je voulais bien me battre, mais je n'étais pas sur de moi. J'avait ressenti une sorte d'enivrement en lisant cette lettre. Je partais a l'aventure. J'espèrais juste que je n'allais pas être seul a faire cette quete. J'avais donc dormi a l'exterieur de l'auberge, dans une ruelle peu confortable mais j'étais au moins sur d'être a l'heure. Nous étions bien le cinquième jour de Léodra, a l'auberge du Korolis dans la grande cité de Dal-Duris. Il était 10 heure du matin. Je décidais de sortir chasser pour manger. J'avais laissé mes boulets dans un buisson et je chassais. Oui, en tant que viashino j'étais assez doué pour trouver ma propre nourriture. J'avais eu aprés quelques mouvements un joli cockatrix grace a un piège. Eh oui j'allais pas prendre le risque de me faire mordre par ces saletées. Aprés quoi je repris mon boulet et le jetta de toute les forces sur le cockatrix. Au moins il était assomé. Je continuait jusqu'a entendre un craquement. Il était bien mort cette fois. J'allais ensuite avec mes boulets et mon repas vers un point d'eau. Je dépluma l'oiseau et a l'aide de mes dents commença a manger. Ensuite, pour être présentable, je me lava. J'avais fini de chasser a 12 heure pile et j'avais mangé pendant une demi heure, j'avais ensuite pris le temps de me baigner pendant une heure. Il était donc une heure 30 quand j'eu fini. Je redescendais ensuite a l'auberge. Je décidais de vendre les restes du cockatrix. J'avais pu récuperer un peu de venin et j'avais confectionné un genre de verre en feuille. J'en tira 50 pièces d'or. Bon prix, je me laissa aller dans la ville et acheta pour 30 pièces d'or une bourse pour mettre a ma ceinture. J'avais en ma posession 20 pièces d'or. Je décidais de les garder avec moi pour le moment. Je m'endormis dans la même ruelle et je me réveilla a 17 heure. Et comme je devais m'y attendre je n'avais plus ma bourse. Je soupira et décida d'aller me présenter a l'auberge. J'entra et me dirigea vers un serveur, je lui fit signe de venir dans un coin de l'auberge. Il devait être surpris par mon apparence, et les autres clients aussi d'ailleurs. Je souria et lui dit tout bas:

Bonsssssssjourr. J'aimerais rencontrrrrrrrer ceux dont les navirrrrres voguent sur la terrrrre.

J'avais un peu de mal a parler la langue des humanoides. J'étais plus habitué a la langue des sables. Je descendais donc a la cave ou se trouvait une table avec quelques personnes, on me fit asseoir, l'une d'entre elles commença a parler:

Salut! Je me nomne Kaya, je suis guérisseuse, la c'est Exigo, il est Barde, et voici Souk, c'est un guerrier, un lancier précisément.. Ah, et la c'est Galatea une mage.

Bonsssjourrr. Moi c'est Don ZzzzzzzzAloog. A votrrrrrre Servisssss ( Je déforme un peu, c'est un reptile ^^ )Je manie le boulet. Et vous ?

Euh, moi je ne manie rien et exigo au pire donnera des coups de guitare, quand a Souk on te l'a deja dits =P Et galatea elle ... [Je te laisse dire gala =P]

À l’instant où la jeune mage prononça cette phrase, une porte s’ouvrit à l’arrière de la salle, laissant apparaître la haute silhouette d’un homme dont le visage était partiellement voilé par une capuche. Il était vêtu d’un habit de toile beige terne et portait une ceinture de cuir brun à laquelle était ostensiblement accrochée une dague aux dimensions plus qu’honorables. Si celle-ci n’avait pas été paisiblement rangée dans sa gaine, on aurait pu observer sur sa lame le motif tribal caractéristique du clan Hiskar.

Après avoir fait deux pas dans la pièce, le nouvel arrivant rabattit se capuche derrière sa tête, dévoilant le visage calme d’un homme d’une trentaine d’années. Sa peau à la teinte fortement bronzée allait de paire avec deux yeux noirs et profonds. Ses cheveux étaient d’un brun très sombre et coupés courts, dévoilant ainsi un large front dénué de rides. Une atmosphère calme et résolue se dégageait de sa physionomie. Cet homme inspirait également une sorte de respect, car on devinait sans peine un corps et un esprit renforcés par des années d’existence dans l’immensité des plaines de l’Ouest.

Aussitôt après avoir dévoilé son visage, il s’inclina silencieusement devant les cinq personnes réunies dans la pièce, toutes plus jeunes que lui. Une fois redressé, il se présenta :

- Je vous salue étrangers. Je me prénomme Kiro, fils du clan Hiskar. Au nom des neuf tribus, je vous remercie infiniment d’avoir accepté de nous porter assistance. Je suis l’émissaire de mon maître Nalim’Ka et mon rôle sera de vous guider jusqu’à lui, ainsi que de vous expliquer les détails de l’opération à laquelle vous allez prendre part.



Hors jeu : Informations complémentaires.

Spoiler:

Le nomade s’apprêtait à répondre à Galatea, mais il reporta son attention sur Kaya lorsqu’elle se présenta à son tour.

- Bonjour, mon nom est Kaya, je suis guérisseuse de profession. Ma spécialité est le soin à base de remèdes et de potions. Lui, c’est mon ami Exigo, il est…

- Kaya ! Laisse moi me présenter tout seul pour une fois, râla l’intéressé.

- Oui, désolée, lui répondit-elle en le gratifiant d’un sourire faussent gêné. Le barde fit le choix d’ignorer cette petite provocation dont il avait souvent fait les frais et poursuivit, tout en s’avançant pour serrer la main du nomade.

- Comme l’a si bien dit Kaya, je m’appelle Exigo. Vous devez vous demander ce qu’un barde peut bien faire d’une mission réservée aux combattants. En réalité, je suis un combattant. J’emploie une forme de magie particulière à partir de mon instrument, dit il en désignant sa guitare posée contre un chaise à coté d’eux.

- Vous pouvez lancer des sorts à partir de votre musique ? Demanda le nomade d’un air neutre qui dissimulait une certaine perplexité.

- Tout à fait, lui assura tranquillement le barde. C’est ce moment que choisit Kaya pour interrompre de nouveau la conversation :

- Et ces deux là ce sont tous les deux des guerriers ! Celui au fond c’est Souk ! Il parle presque pas. Et l’autre c’est un viashino alors on comprend pas ce qu’il dit. Je crois qu’il s’appelle Don Ssalougg…

- Tu aurais pu le laisser se présenter lui aussi, reprocha Exigo à la guérisseuse qui l’ignora complètement.

Pendant que les deux amis se chamaillaient, Kiro reporta son attention sur Galatea, toujours assise sur la table. Elle lui avait ouvertement signifié son antipathie par le ton et les paroles qu’elle avait employé lors des présentations. De plus, elle l’avait provoqué en refusant de lui serrer la main. Le nomade réfléchit, essayant de découvrir la raison de cette attitude. Lui avait-il manqué de respect à un moment donné ? Peut être était-elle tout simplement trop jeune. Son attitude lui faisait penser aux provocations d’une gamine en bas âge. Ou peut être était-elle raciste, considérant les hommes à la peau bronzée comme inférieurs…

Le problème lui apparaissait comme insoluble, et le préoccupait. La philosophie de son peuple était de toujours pouvoir compter aveuglément sur ses alliés en combat. Des frères d’armes se devait d’être soudés, car une attitude contraire conduisait à l’échec et potentiellement à la mort. Il devait donc s’assurer que les mercenaires engagés étaient entièrement fiables. Son maître lui avait fait confiance pour cette mission et il se devait de l’honorer. Ramener des combattants inaptes par leur attitude ou par leurs compétences serait commettre une faute grave. Rien ne comptait plus que la confiance chez ceux de peuple et en particulier parmi les membres du clan Hiskar.

[À toi de poster don Zaloog]

[Informations complémentaires :]

Spoiler:

- Je vous salue étrangers. Je me prénomme Kiro, fils du clan Hiskar. Au nom des neuf tribus, je vous remercie infiniment d’avoir accepté de nous porter assistance. Je suis l’émissaire de mon maître Nalim’Ka et mon rôle sera de vous guider jusqu’à lui, ainsi que de vous expliquer les détails de l’opération à laquelle vous allez prendre part.

"Vous n'êtes pas obligés de prendre des gants avec nous, si le temps presse, je me demande ce qu'on fait encore ici. Je suis Galatea. Je ne vous dirai pas que je suis enchantée de vous connaître, mais c'est tout comme."


Galatea tendait son poing de métal a l'inconnu. Il allait se faire broyer la main si il le serrait. L'homme était agé d'une trentaine d'année. Il était assez beau, mais pas a mon gout. Normal, j'étais un Viashino. Et de toute façon je n'avais aucune envie de relations homosexuelles pour le moment, j'aretta donc ma petite réflexion. L'homme s'apprétait a serrer le poing de Galatea mais cette dernière le retira et alla s'asseoir. Kaya s'avança et se mit a lacher a une vitesse phénoménale:

Bonjour, mon nom est Kaya, je suis guérisseuse de profession. Ma spécialité est le soin à base de remèdes et de potions. Lui, c’est mon ami Exigo, il est…

Exigo la stoppa du tac-au tac. Pendant ce temps, moi, je discutais avec Souk. Ils continuaient de se battre... Kiro semblait du même avis que nous.

- Kaya ! Laisse moi me présenter tout seul pour une fois !

- Oui, désolée, lui répondit-elle en le gratifiant d’un sourire faussement gêné. Le barde fit le choix d’ignorer cette petite provocation dont il avait souvent fait les frais et poursuivit, tout en s’avançant pour serrer la main du nomade.[Merci pnj xD]


- Comme l’a si bien dit Kaya, je m’appelle Exigo. Vous devez vous demander ce qu’un barde peut bien faire d’une mission réservée aux combattants. En réalité, je suis un combattant. J’emploie une forme de magie particulière à partir de mon instrument, dit il en désignant sa guitare posée contre un chaise à coté d’eux.

- Vous pouvez lancer des sorts à partir de votre musique ? Demanda le nomade d’un air neutre qui dissimulait une certaine perplexité.

- Tout à fait, lui assura tranquillement le barde. C’est ce moment que choisit Kaya pour interrompre de nouveau la conversation :

- Et ces deux là ce sont tous les deux des guerriers ! Celui au fond c’est Souk ! Il parle presque pas. Et l’autre c’est un viashino alors on comprend pas ce qu’il dit. Je crois qu’il s’appelle Don Ssalougg…

- Tu aurais pu le laisser se présenter lui aussi, reprocha Exigo à la guérisseuse qui l’ignora complètement.

Et c'était reparti pour un tour ... Je soupira, et mis le poing sur la table a mafaçon. Je jetta un bol de bois sur la tête de kaya et grogna. Les autres ne voyant pas trop ce que je voulait, je décidais de m'exprimer.

Ssssssuffit ! Aretez vossssssssenfantilagges ...(Suffit! Arettez vos enfantillages)

Personne ne comprennait apparement, Souk avait l'air d'avoir compris. Il conaissait la langue des sables sans doute et ce serait plus facile pour moi de parler avec lui.

Alors que Kaya s’apprêtait à étriper Don Zaloog, Souk frappa trois fois de sa lance sur le sol, imposant le silence.

- Non nom est Souk, des Iles Boréales. Est-ce qu’on pourrait arrêter là les gamineries et passer directement aux choses sérieuses ? Et mon compère viashino s’appelle Don Zaloog, articula le guerrier avec une prononciation excellente. L’intéressé réagit à ces paroles d’un hochement de tête approbateur avant de s’exprimer à son tour :

- Sabaya, rash minzar telmak tsinaa, Souk ?
- Souk, tu peux demander au nomade plus d’informations sur la quête ?

Souk tourna la tête en direction de Kiro qui le fixait d’un air neutre.

- Peut-on avoir plus de détails au sujet de notre mission ? Le nomade laissa passer un instant de silence avant de répondre :

- Bien sûr. Mais je dois d’abord vous tester.

- Comment ça, nous tester ?

- Il est normal que je vérifie vos compétences. Si vous n’êtes pas assez forts, vous risqueriez d’être inaptes à nous aider, déclara simplement le nomade.

Kaya et Exigo paraissaient étonnés par les paroles de l’homme des plaines. Sans doute était-ce leur première mission, pensa Souk qui était habitué à ce genre de situation. Lui-même considérait la chose comme tout à fait normale. Galatea était toujours assise sur la table, balançant ses pieds dans le vide. Mis à part un léger sourire, elle n’arborait aucune expression susceptible de dévoiler ses pensées. Quand à Don Zaloog, seul un membre de sa race aurait pu décrypter l’expression de son visage.

Souk réagit le premier. Et là, tout le monde fus surpris. Se levant et empoignant sa lance, il se propulsa d’un bond sur le nomade. Exigo, qui se trouvait entre eux, s’écarta vivement et tira son amie Kaya en arrière. Kiro dégaina et para l’attaque à une vitesse surprenante, avant de riposter par un coup latéral, visant les côtes de son adversaire. Souk recula, prit appui sur sa jambe arrière et fit tourner sa lance pour se protéger. Le manche de l’arme percuta la dague du nomade, détournant l’assaut.

Kiro effectua alors un déplacement rapide et furtif pour se retrouver derrière son adversaire. Et il frappa de nouveau. Gêné par le poids et la taille de son arme autant que par la rapidité de son adversaire, Souk esquiva maladroitement et failli déraper sur le sol. Une fois rétabli, il se remit en garde. Le nomade n’avait pas profité de son avantage pour lui porter un coup fatal. Il ne se bat pas sérieusement, pensa le guerrier, repartant immédiatement à l’attaque, visant la tête cette fois.

Il est assez rapide pour quelque un maniant une arme aussi longue, pensa le nomade. Sa technique n’est pas mauvaise mais manque de précision. Par contre, il frappe pour tuer. Son allonge nous sera certainement utile… Satisfait, Kiro passa sur le coté pour éviter de se faire embrocher et rengaina sa dague. Il s’inclina devant son adversaire, signifiant la fin du combat. Souk décrispa ses mains du manche de son arme et se remit en position normale. Il recula retourna s’asseoir sur sa chaise comme si rien ne s’était passé. Le nomade lui indiqua d’un hochement de tête que sa performance était satisfaisante, puis se tourna vers Don Zaloog.

- À votre tour, viashino.


[Informations complémentaires :]

Spoiler:

Alors que Kaya s’apprêtait à étriper Don Zaloog, Souk frappa trois fois de sa lance sur le sol, imposant le silence.

- Mon nom est Souk, des Iles Boréales. Est-ce qu’on pourrait arrêter là les gamineries et passer directement aux choses sérieuses ? Et mon compère viashino s’appelle Don Zaloog, articula le guerrier avec une prononciation excellente.

L’intéressé réagit à ces paroles d’un hochement de tête approbateur avant de s’exprimer à son tour :

- Sabaya, rash minzar telmak tsinaa, Souk ?
- Souk, tu peux demander au nomade plus d’informations sur la quête ?

Souk tourna la tête en direction de Kiro qui le fixait d’un air neutre.

- Peut-on avoir plus de détails au sujet de notre mission ? Le nomade laissa passer un instant de silence avant de répondre :

- Bien sûr. Mais je dois d’abord vous tester.

- Comment ça, nous tester ?

- Il est normal que je vérifie vos compétences. Si vous n’êtes pas assez forts, vous risqueriez d’être inaptes à nous aider, déclara simplement le nomade.

Je réfléchis un instant. Kaya et exigo furent choqués ... Souk, lui avait l'air de s'en foutre complètement et Galatea restait assise sans bouger. Moi je réfléchisais, il fallait se battre contre lui ? Je voulais bien moi mais ... frappait-il pour tuer ? Et moi je devais frapper pour tuer ? J'étais assez rapide, mais il avait l'air bien plus agile et habile que moi dans le maniement de son arme ... Ce guerrier me surpassait en tout point pour le moment.
C'est alors que Souk se leva en brandissant sa lance, visant un point mortel, l'autre esquiva et contre-attaqua, souk para brillament l'attaque et s'en suivirent quelques échanges, Kiro avait plus l'air de jouer avec Souk qu'autre chose. Kiro surpassait Souk, Souk qui avait d'ailleurs l'air dêja bien puissant. Aprés quelques instants le combat s'arretâ.
Kiro fit signe a Souk que c'était bon et d'un mouvement de tête lui approuva que pour lui c'était bon. Tout le monde nous regardait, même les employés. Kiro se tourna ensuite vers moi et me fit un signe.

- À votre tour, viashino.

Seul un autre viashino aurait pu voir ce qui me passait par la tête. Honnêtement j'avais peur, Souk aussi était meilleur que moi et je commençais a douter. Je devais faire quoi au juste ? Me battre ? Ce n'était pas comme la chasse ou je tendais un piège, l'animal tombait dedans et fallait juste le frapper avec le boulet jusqu'a ce qu'il meurt, et ensuite on mangeait. Je risquais la mort cette fois ... J'en étais convaincu. Je n'afficha pas ma peur, mon adversaire pourrait s'en servir, je ne parla pas, ma voie risquait de trembler ... J'étais concentré. Je me leva de ma chaise et saisit mon boulet ... Une issue, il me fallait une issue. Je regarda autour de moi ... Vite, une idée ... J'aperçu un lustre au dessus du combattant ... Je commença a faire tournoyer mou boulet, il y avait d'autres lustres, mais avec mes sens de prédateurs et ma meilleure vision dans l'obscurité ça devrait me donner l'avantage. Et de toute mes forces je lança le boulet dans le lustre qui se décrocha dans un gros bruit, Kiro était en dessous ? Avait-il évité ? Je ne savais pas encore, je ramena le boulet a moi. Gardant cette fois-ci les deux boulets dans ma main. C'était un genre de coup de poing américain ... Mais c'était plus rapide et moins dangereux pour moi. Et j'avais l'avantage selon moi ... A quoi bon perdre de la rapidité ?

[Nous sommes dans une petite salle du sous sol. Il n’y a pas de membre du personnel et surtout, il n’y a qu’un lustre.]

Kiro dégaina lentement et laissa le temps à son adversaire de se mettre en garde. Le viashino arma ses deux boulets de métal et fit face au nomade. Il commença à les faire tourner mais sans passer à l’attaque. L’entrée en matière était beaucoup moins violente qu’avec Souk et le nomade en éprouva comme un léger regret. Kiro laissa quelques secondes s’écouler, mais rien ne se produisit. Les deux adversaires continuaient à s’observer stoïquement. Avait il peur ? Etait-il en train de réfléchir à une tactique ou de jauger son adversaire ? Le nomade ne pouvait déchiffrer l’expression qui se tissait sur le visage du reptile. Mais comme rien ne se produisait, il se prépara lui-même à prendre l’initiative.

C’est alors qu’il observa un changement d’expression chez son adversaire. Il ne sut l’interpréter, mais se tint prêt à l’action. Un instant plus tard, les muscles du viashino se crispèrent et entrèrent en action. Le guerrier reptile projeta l’un de ses boulets en direction du nomade. Kiro était déjà prêt depuis longtemps et s’apprêta à esquiver.

Attaque de front, lente, pas terrible…

Il fut légèrement surpris lorsqu’il constata qu’il n’était pas la cible directe de l’assaut. Il entendit un grand fracas au dessus de sa tête lorsque le boulet toucha le plafond. Parfaitement conscient de se trouver juste en dessous d’un lustre, le guerrier des plaines se jeta sur le coté tandis que la pièce basculait dans la pénombre.

Lorsque le lustre s’écrasa avec fracas au sol, Kiro s’était déjà remis en garde. Il scruta autour de lui mais n’y voyait pratiquement rien. Il avait essayé de ne pas quitter Don Zaloog des yeux mais l’avait perdu dans sa manœuvre d’évitement. Il n’y avait plus personne là où s’était tenu le guerrier reptile quelques instants plus tôt et les silhouettes qu’il distinguait autour de lui pouvait aussi bien être celles des autres mercenaires.

Bien pensé. Il garde la tête froide et applique une stratégie en profitant de ses dons naturels. Mais je ne peux pas le juger qu’à ses talents tactiques. Voyons voir comment il se bat…

Mais le nomade n’avait pas de moyen d’identifier les personnes qui l’entouraient, et y voyait trop mal pour juger de leur taille ou de leur corpulence. La plus proche devait être à cinq mètres tour au plus. Elle était très grande… Non, c’était celle de la mage perchée sur une table. Celui au fond était forcément Souk… Et si les deux silhouettes à coté de Souk arrêtaient de parler il pourrait peut être entendre les déplacements du viashino. Ces deux là étaient probablement Kaya e Exigo. Mais ou était-il LUI ? Kiro entendit soudain un bruit derrière lui et commença à se retourner, ses muscles tendus et prêts à agir.

En se retournant, Kiro entendit distinctement un bruit de métal, confirmant que son adversaire était passé à l’action. Il se décala sur le coté et vit le boulet passer juste à coté de lui, frôlant sa tête de quelques centimètres. Il attrapa la chaîne au vol et l’enroula autour de son bras. Puis, prenant appui sur sa jambe gauche, y exerça une violente traction. Le viashino avait deux solutions : Lâcher prise et perdre l’une de ses deux armes, oubien passer à l’assaut immédiatement. Car il ne pouvait espérer rivaliser avec la force du nomade.

Kiro sentit une légère résistance lorsqu’il tira sur la chaîne. J’ai ferré un gros morceau, se dit-il, prêt à recevoir l’attaque de son adversaire. Il tente le tout pour le tout, voyons voir ça… L’homme vit la haute silhouette de Don Zaloog foncer sur lui à toute allure. Le viashino, en plaine course, prit l’initiative et projeta son deuxième boulet. Mais le nomade était trop rapide. D’un geste sec, il écarta l’attaque du plat de sa lame.

Cependant, Don Zaloog était maintenant trop près pour stopper sa course. Entraîné par son élan, il percuta violemment son adversaire et tous deux roulèrent au sol. Le viashino se releva en premier, mais Kiro le déstabilisa en tirant sur la chaîne, toujours enroulée autour de son bras droit. Cette manœuvre lui permit de se relever pendant que Don Zaloog retrouvait son équilibre. Une fois sur pied, Kiro se jeta sur le reptile et le plaqua au sol. Ce dernier cessa de résister lorsqu’il sentit le dague du nomade sous sa gorge. Le combat était terminé.

Kiro se releva et s’inclina respectueusement devant son adversaire. Ceci fait, il alluma plusieurs torches qu’il fixa au mur, rétablissant la lumière dans la salle.

Il est plutôt futé et ses sens particuliers seront utiles puisque l’opération se déroulera de nuit. Son arme et lente mais porte loin. Par contre, il est très mauvais au corps à corps… Le nomade réfléchit encore quelques instants avant de donner finalement son assentiment à Don Zaloog.

L’intervention de Galatea jeta un froid sur la petite pièce souterraine. Un instant s’écoula où chacun observa, à la lueur vacillante des torches, les dégâts occasionnés par les précédents combats. Une table brisée, quelques chaises renversées et les débris du lustre qui s’étaient éparpillés un peu partout autour de la zone d’impact. Il eut été exagéré d’employer le terme carnage pour désigner l’état de la salle, car la plupart du mobilier était encore debout. Mais le terme bordel eut été parfaitement adapté.

Un rire étouffé s’éleva dans l’atmosphère plutôt tendue qui venait de s’instaurer dans la pièce. On l’identifia rapidement comme provenant de Souk, qui sans prendre la peine de tourner la tête, s’adressa à Galatea :

- Mais où est-ce que tu te crois ? Dans un théâtre ? Belle prestation. Des paons voulant séduire une femelle ? Quelle inventivité ! Je n’ai pas un gramme de cervelle, hein ? Elle est bien bonne celle là ! Il inspira avant de poursuivre :

On est dans le cadre d’une mission. On se fout tous complètement de savoir pourquoi on nous embauche, nous sommes là pour la récompense. C’est ça le monde des adultes ! Si tu ne viens pas pour le fric, tu peux aller t’engager comme volontaire chez la Garde Blanche, je suis sûr qu’ils seront ravis de t’avoir. Après un instant il ajouta, sur un ton plus calme et posé :

D’habitude je laisse les grandes gueules parler dans le vide mais je dois avouer que ton piaillement m’agace particulièrement.

Avant même que la mage ait le temps d’exploser, Kiro l’interpella d’une voix ferme :

- Galatea. Je vais vous dire pourquoi nous faisons appel à des gens comme vous pour nous aider. Il ne s’agit pas de simples brigands. Certains sont des renégats, bannis de tribus comme la mienne et expérimentés. Ils sont très bien organisés, et leurs attaques ont déjà pris la vie de nombre d’entre nous. À cause de cette menace, beaucoup de clans préfèrent conserver leurs meilleurs guerriers pour les défendre plutôt que de les laisser participer à l’opération. Les combattants que nous avons avec nous sont pour la plus grande partie de jeunes guerriers avec peu d’expérience.

Mais il y a une deuxième raison. Chez notre peuple aussi bien que chez nos ennemis, il n’y a pas de guerriers qui sachent se servir la magie. Si nous faisons appel à des mercenaires, c’est aussi pour avoir à nos cotés des atouts qui surprendront nos adversaires.

Alors maintenant, que vous avez votre explication, vous pouvez continuer à vous enliser en de vaines discutions, où au contraire faire ce pourquoi vous êtes venue et me prouver immédiatement votre véritable valeur.

Kiro laissa la jeune femme tiraillée entre son envie de répondre à Souk et l’appel du combat que venait de lui lancer le nomade.

À cause du brouillard magique, Souk ne vit réellement les flammes que lorsqu’elles furent à quelques dizaines de centimètres de son nez. N’attendant pas de savoir si Galatea porterait son coup ou pas, il recula précipitamment et se mit en garde. Il ne vit d’abord que les flammes suspendues dans le noir comme un feu follet. Puis, le voile de ténèbres s’évanouissant progressivement, il put bientôt distinguer le visage tremblant, trempé de sueur, mais non moins résolu de la jeune magicienne.

Et, alors que la brume magique avait totalement disparue, Souk se demanda s’il devait occire Galatea devant tout le monde, ce qui lui vaudrait probablement d’être exclu de la quête. Les flammes qui semblaient si redoutables quelques secondes plutôt quittèrent définitivement le bras de Galatea en lançant un dernier grésillement d’adieu. Elle semblait alors si complètement sans défense, et l’assentiment de Souk était si fort à cet instant que lui-même n’eut pas été capable de dire s’il aurait cédé ou non à la tentation sans l’intervention de Kiro.

- Exigo, c’est à vous, déclara simplement le nomade en ignorant les deux belligérants.

Ces simples paroles de Kiro semblèrent dissiper (ou du moins atténuer) ses envies de meurtre. Assez en tout cas à ce qu’il remette ses projets de vengeance à plus tard. Il attrapa donc une autre chaise près de lui et se rassit tranquillement, comme si rien ne s’était produit. Toutefois, il adressa un geste équivoque à Galatea signifiant qu’elle le lui paierait. La jeune mage lui répondit d’un second geste équivoque qu’il pouvait aller se faire foutre et s’assit à son tour pour observer la prestation d’Exigo.

Au moment où le nomade l’avait interpellé, le jeune barde avait été pris au dépourvu, tant son attention était accaparée par le duel entre la mage et le guerrier.

- Hein … ? Ah, oui pardon ! Lâcha t-il en comprenant soudainement la situation. Il empoigna précipitamment son luth posé juste à coté de lui et commença à jouer. Une musique assez rythmée aux consonances celtiques s’échappa de l’instrument et envahit la petite pièce. Au bout d’une minute, l’air mourut doucement et Exigo reposa sa guitare sur le sol, comme s’il avait terminé sa prestation. Le nomade avait bien aimé la musique. Sérieusement, ce type était doué. Il préférait néanmoins les chansons tribales de son peuple, accompagnées par des morceaux de flûte et des percussions. Mais un élément majeur échappait toujours à l’homme des plaines et il ne manqua pas d’en faire immédiatement part au barde :

- Qu’est-ce que ça a fait ? Demanda t-il, assez incrédule.

- Vous êtes deux fois plus rapide. Essayez un mouvement avec votre arme.

Le nomade lui lança un regard perplexe avant de porter la main à sa dague. Mais à peine eut il le temps d’y songer que l’arme était déjà dans sa main. Il eut un instant d’immobilité avant d’effectuer quelques passes d’armes dans le vide. Sa lame fouetta l’air devant lui à une vitesse ahurissante, à tel point qu’il ne pouvait plus voir ses propres mouvements.

- Comment faites vous ça ?

- Je gorge les muscles d’énergie magique. Ils deviennent ainsi ultra performants durant une courte période. Ce sort ne dure que vingt secondes. Par contre, je peux le jeter sur plusieurs personnes. Et je peux aussi le relancer continuellement si je ne cesse pas de jouer.

Le nomade eut une mimique révélatrice de son admiration. Autant dire que le barde avait réussi. Puis, tenant toujours sa dague de sa main gauche, il s’entailla le bras droit d’un geste sec et précis. Cette auto mutilation arracha un hoquet de surprise à tous les membres de l’assemblée (sauf à Don Zaloog qui émit un sifflement étonné). Kiro s’avança alors vers la jeune guérisseuse et lui présenta son membre sanguinolent.

- À vous, Kaya.

Sans geste inutile et avec un professionnalisme exemplaire, la jeune femme sortit de sa sacoche une petite serviette blanche et un flacon contenant un liquide bleu clair. Elle versa un peu de ce liquide sur le morceau de tissu avant de s’en servir pour nettoyer la plaie. Elle sortit ensuite un petit pot contenant une pommade blanche qu’elle appliqua précautionneusement le long de l’entaille. La plaie cessa de saigner. Pour finir, elle tira encore trois pots et un petit bol en bois de son sac. Elle mélangea des trois ingrédients : un liquide huileux, un onguent et une herbe à la texture sombre. Une fois la préparation achevée, elle appliqua la mixture sur la partie du bras meurtrie par la lame. Enfin, elle entoura le tout d’un joli bandage, parachevant son oeuvre.

- Dans vingt minutes il n’y aura plus trace de la blessure. Même pas une cicatrice, annonça t-elle fièrement. Kiro la considéra un instant, puis déclara :

- Les tests sont terminés. Je vais pouvoir vous parler plus en détail de notre mission.

« Voilà qui est propre, vous avez proprement et simplement tout cassé autours de vous, j'espère que vous êtes fiers de cette démonstration de force... on aurait dit deux paons qui faisaient la roue pour séduire une femelle, à la différence près qu'un paon est relativement docile et un peu moins destructeur.
C'était ridicule, vous allez vous blesser avant le combat, non mais vraiment, des gosses! Souk n'a pas un gramme de cervelle, et vous là, le nomade... »

La mage devint rouge, leva le bras, tendit le poing, gonfla les joues, et leva péniblement, très péniblement, avec une lenteur extrême... son pouce.

« Vous étiez comme ça, chapeau! Bon, vous avez légèrement détruit la cave de l'auberge, mais j'avoue être impressionnée par vos capacités et je ne pense pas être la seule... seulement, je viens à me poser la question, puisqu'on dirait que personne ne réfléchit ici... Pourquoi demander notre aide? Vous n'êtes pas assez puissants pour ces brigands? Votre peuple doit bien en avoir quelques uns comme vous en réserve quand même, non? »

Avec une facilité déconcertante, elle leva son poing qui devait être extrèmement lourd.

« Je suppose que vous allez me tester également, j'aurais bien quelques objections à faire mais... vous me semblez être un adversaire amusant à combattre... »

Souk semblait de mon avis ...

- Mais où est-ce que tu te crois ? Dans un théâtre ? Belle prestation. Des paons voulant séduire une femelle ? Quelle inventivité ! Je n’ai pas un gramme de cervelle, hein ? Elle est bien bonne celle là ! Il inspira avant de poursuivre :

On est dans le cadre d’une mission. On se fout tous complètement de savoir pourquoi on nous embauche, nous sommes là pour la récompense. C’est ça le monde des adultes ! Si tu ne viens pas pour le fric, tu peux aller t’engager comme volontaire chez la Garde Blanche, je suis sûr qu’ils seront ravis de t’avoir. Après un instant il ajouta, sur un ton plus calme et posé :

D’habitude je laisse les grandes gueules parler dans le vide mais je dois avouer que ton piaillement m’agace particulièrement.

Avant même que la mage ait le temps de répliquer, Kiro jugea bon de les séparer. De mon coté je posa ma patte sur l'épaule de souk, lui faisant comprendre qu'elle n'en valait pas la peine, puis je m'exprima en langue des sables. A l'intention de Souk.

Krrroo Woay'a! Tyliop Rzra jku pi. Oarr rosh ka ? Lamipe kiru sape.
Laisse là, elle n'en vaut pas la peine ! Et ça sert a rien de lui gueuler dessus elle en sera contente. Tu as entendu comme moi ? Eh bien je peut te l'assurer, si on étaient des paons, on ne dragueraient pas cette femelle !

S'en suivit un petit rire moqueur a l'intention de Galatea, puis kiro lacha un assez joli " Hahem" et il reprit:


- Galatea. Je vais vous dire pourquoi nous faisons appel à des gens comme vous pour nous aider. Il ne s’agit pas de simples brigands. Certains sont des renégats, bannis de tribus comme la mienne et expérimentés. Ils sont très bien organisés, et leurs attaques ont déjà pris la vie de nombre d’entre nous. À cause de cette menace, beaucoup de clans préfèrent conserver leurs meilleurs guerriers pour les défendre plutôt que de les laisser participer à l’opération. Les combattants que nous avons avec nous sont pour la plus grande partie de jeunes guerriers avec peu d’expérience.

Mais il y a une deuxième raison. Chez notre peuple aussi bien que chez nos ennemis, il n’y a pas de guerriers qui sachent se servir la magie. Si nous faisons appel à des mercenaires, c’est aussi pour avoir à nos cotés des atouts qui surprendront nos adversaires.

Alors maintenant, que vous avez votre explication, vous pouvez continuer à vous enliser en de vaines discutions, où au contraire faire ce pourquoi vous êtes venue et me prouver immédiatement votre véritable valeur.

Un défi, un petit sifflement s'exprima de ma part a Souk, lui disant que cet homme ne manquait pas de cran. J'avais une folle envie de casser la table sur laquelle Galatea était, mais passons, je décidais de ne rien faire. Je regarda la scène. Elle fixait Souk ... Elle n'allait pas se battrecontre lui quand même ?! je sortit mes griffes et la fixa sans rien dire, comme si de rien n'était. Si elle voulait affronter Souk elle m'affronterait aussi...

« Nox. »


A la grande surprise de tout le monde, la voix cristalline de Galatea retentit dans toute la pièce, Kaya tremblait et se serrait contre Exigo, qui n'avait d'autre choix que de la laisser faire, un peu rouge d'ailleurs Exigo ...Ils feraient un beau couple, mais avec le caractère de ... Hum, avec son caractère déplorable (xD) Kaya lui rendrait vite la vie impossible. De la fumée commença à se répandre dans la salle, laissant un doute a tout le monde, même a moi, mais ça ... Seul un viashino pourrait le deviner. Elle leva son poing, oui, moi je pouvais voir j'avais une meilleure vue et prononça quelques paroles avant de terminer par un.

« Puros ! »

Son poing s'enflamma et tel un feu follet commença a se déplacer en direction de Souk. Je soupira et laissa sortir clairement mes griffes dans un petit couinement, qui laissait tout de même présager que j'étais pret a me battre. Souk ne dit rien, et les démonstration filèrent sous nos yeux ébahits, (souk et moi^^). Puis vint le moment tant attendu.

- Les tests sont terminés. Je vais pouvoir vous parler plus en détail de notre mission.

Krudaaaf, shobga, zaou gkii ropa ?
Souk, demande lui le nombre, environ hein, d'ennemis.

Tout le monde me regardait, quoi ? Ils avaient jamais vus un viashino parler ? Je soupira et m'exprima assez lentement, non pas pour qu'ils comprenent, mais car j'avais du mal a parler l'humain.

Combien d'ennemis ?

J'en eu mal a la gorge, c'était super dur a parler l'humain ! >w< Je me remit a parler avec Souk en attendant la réponse. Souk était d'accord avec moi, et a mon avis tout le monde devait l'être aussi: Galatea était une peste, aya était une guérisseuse formidable, Exigo était un barde trés doué. Souk et moi on étaient un peu trop brutaux, Kiro était trés fort ...